vendredi 25 octobre 2013

« L’agrandissement dans l’apaisement du Stade Roland Garros au coeur de Paris est possible »

Ce jeudi 17 octobre, la Cour Administrative d’Appel (CAA) a confirmé la décision rendue le 28 février dernier par le Tribunal Administratif de Paris concernant la délibération du Conseil de Paris en date des 11 et 12 juillet 2011 relatif à la convention entre la Ville et la Fédération Française de Tennis pour l’extension du stade de Roland Garros.
Cette décision attendue, renforce un peu plus la position des promoteurs d’un plan alternatif, consistant entre autre, à la couverture partielle de l’A13 au niveau du Bois de Boulogne.
Contre-projet - Extension de Roland Garros
Pour Agnès Popelinprésidente du Collectif Auteuil Les Princes (CAP), vice-présidente de l’Association du quartier du Parc des Princes (APP) et administratrice d’Ile-de-France Environnement (IDFE), la CAA retient « pour parvenir à cette confirmation, que si le faible taux de redevance versée par la FFT à la Ville en application de la convention était faible par rapport aux taux habituellement appliqués aux autres concessions domaniales consenties par la Ville dans le Bois de Boulogne, cela peut se justifier par le caractère exceptionnel de l’occupation domaniale et l’importance du coût des travaux à réaliser par la FFT.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire