mardi 20 octobre 2015

@claudebartolone (#PS) interviewé sur @France5tv

75001 - @C_Najdovski (@EELV) propose d'alléger la pub au métro Concorde

75010 - Entre deux Gares : les asso de riverains déçues



Voies sur berges : @Chantal_Jouanno (#UDI) "@Anne_hidalgo est sur des positions dogmatiques"

75015 / 92320 - #Budget2016 : @jmgermain (#PS) est-il allé voter ?

Le @PSG_inside va devoir verser près de 5,5 millions d'euros à l'@Urssaf_IDF

75001 - Place du Palais-Royal et place de la Concorde : comment la Mairie de Paris privatise l’espace public

La transformation pendant une nuit des catacombes en chambre à coucher pour la communication d’Airbnb (voir l’article) n’est qu’un des aspects de la vente effrénée aux marques de l’espace public par la Mairie de Paris.
Actuellement, deux places parisiennes au moins sont livrées ainsi à la publicité déguisée sous l’aspect faussement honorable d’expositions temporaires.
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1. Place du Palais-Royal, état le 6 octobre 2015
entre deux installations
Photo : Didier Rykner
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2. Place du Palais-Royal avec l’« exposition » Printemps
On notera également, outre l’élégante poubelle transparente
à droite, d’un modèle que l’on voit partout à Paris (seule capitale
à infliger cela à ses habitants et aux touristes) que les bacs poubelles
sont installés sur la place à 14 h 30, heure de prise de cette photo.
Tout cela fait un ensemble charmant !
Photo : Didier Rykner
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3. Place de la Concorde, le 30 septembre 2015
avec les tentes « Forum pour l’emploi 2015 »
Photo : Didier Rykner
D’abord, la place du Palais-Royal. Située entre le Conseil d’État, monument classé, et le Louvre, monument classé, cette place parisienne est désormais transformée régulièrement en showroom pour différentes marques ou pour la promotion de régions ou de pays, qui se succèdent à un rythme régulier. Début septembre, c’était l’Azerbaïdjan, d’ailleurs pays hautement démocratique, qui venait faire sa publicité en annexant la place. Puis il y a eu encore on ne sait combien de ces foires marketing, au moins une en tout cas car voilà l’état dans lequel la place se trouvait le 6 octobre dernier (ill. 1), après le démontage d’une d’entre elles. Et, actuellement, c’est le Printemps qui fête ses 150 ans (ill. 2) avec une « exposition dédiée à l’élégance française1 » : « 66 images tirées des catalogues ou des affiches produites par le grand magasin racontent cette histoire ». Et avec qui l’exposition se fait-elle ? Avec Jean-Claude Decaux, l’un des partenaires les plus actifs de la Mairie de Paris, qui remplit la ville de son mobilier urbain et de ses panneaux publicitaires toujours plus envahissants. Quelle surprise !
La suite : la Tribune de l'Art

75009 - Prostitution et salons de massage à Paris: "Il faut démanteler les réseaux" l'action de @brigitte_kuster et @dburkli

Transports : fraudeurs et terroristes dans le même sac

75018 - Guettos : @honore18e (#LR) renvoie @IanBrossat (#PCF) à la localisation de son logement

@Anne_Hidalgo "Demain, soyons fiers de nos couleurs en portant le maillot du @PSG_inside"

PMA: De la promesse à l’oubli

EDF : non réponse de @RoyalSegolene à une #QAG de @Denis_Baupin (#EELV)

Surtaxe d’habitation sur les résidences secondaires : @Anne_Hidalgo voudrait bien cogner plus fort

En recherche de recettes supplémentaires pour équilibrer ses comptes, la mairie de Paris réfléchit notamment aux moyens de renforcer la surtaxe d’habitation sur les résidences secondaires.
Encore plus fort ! Sept mois après avoir relevé de 20% le taux de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires, et autres biens meublés non loués, Anne Hidalgo envisage déjà d’aller plus loin.
Selon nos informations, la maire de Paris profitera du débat d’orientation budgétaire qui se tiendra lundi prochain pour soumettre au vote l’idée de renforcer cette surtaxe d’habitation. "Si le Conseil de Paris valide le principe, une étude sera lancée, puis nous rencontrerons le gouvernement pour voir dans quelle mesure un amendement permettant aux collectivités de relever le taux d’imposition peut être déposé dans le cadre du Budget", explique-t-on dans l’entourage de la Maire de Paris.


La suite :  Capital

Les voyageurs du métro et du train : des citoyens de seconde zone ?

@BelAirSud : "L’espace public parisien devient de moins en moins public !"

75020 - @LangloisMallet : "Paris pas sans Nous !" - à La Bellevilloise

RATP / SNCF : le gouvernement veut muscler les contrôles après l'attaque du Thalys

Fermeture des voies sur berges: communiqué de @EdithGallois (@UDI_Paris13)

@MadjidFalastine (#FDG) : "Les banlieues ne veulent pas entendre @fhollande (#PS)"

75005 - @raphaelleprimet (#PCF) soutient les sous traitants de Paris Habitat

@aurelien_veron et @vbenard (@PartiLiberal) : "La fin annoncée des transports publics en Ile-de-France"

La nouvelle révolution des transports a commencé. L'innovation numérique accélère leur ouverture à la concurrence. Concurrence légale dans le cas du rail et des cars longue distance, spontanée dans le cas du co-voiturage ou des VTC qui contournent le monopole des taxis. La voiture individuelle décriée sera bientôt de nouveau à la mode. Cette fois, elle sera propre, partagée et autonome. Plus que jamais, les "usagers" arbitreront en faveurs des transports les mieux adaptés à leurs besoins propres. L'avenir n'est peut-être plus au tout-rail -projet du Grand Paris- mais au développement d'un vrai marché concurrentiel des transports partagés, collectifs ou à la demande.
L'automobile vit plusieurs changements majeurs. Peugeot annonce avoir réussi un trajet Paris Bordeaux en mode sans chauffeur. Toyota testera 50 taxis autonomes au Japon dès 2016. L'expérimentation de la Google Car révèle une conduite déjà plus sûre que celle d'un humain. La numérisation permettra aux villes devenues intelligentes ("smart city") de mieux gérer le trafic et le stationnement pour limiter la congestion et fluidifier les déplacements de tous, tout en améliorant la qualité de l'air.


Nouveaux périmètres intercommunaux en @iledefrance : où en est-on ?

75013 - Tractage du FN à Austerlitz

Les petites cachotteries budgétaires de la Ville de @Paris

Commune et département, Paris joue parfois de sa double casquette pour opérer quelques tours de passe-passe comptables. La Cour des comptes n'apprécie pas.



Dans le langage ultra-policé de la rue Cambon, siège de la Cour des comptes, ces quelques phrases trahissent un haut degré d'énervement : « difficulté d'appréciation », « altération de la sincérité du budget », « objectif de communication inadéquat »... Que visent ces phrases retenues mais sèches, relevées dans un rapport de la chambre régionale des comptes publié, discrètement, début octobre ? Les petites cachotteries de la Mairie de Paris. 

Les sages se sont penchés sur la double personnalité de la Ville de Paris, à la fois commune et département, pour voir si cette situation unique en France n'était pas trop handicapante. Elle l'est, admettent les magistrats. Ne reconnaissent-ils pas les casse-tête budgétaires que ce statut implique, lorsqu'il faut, par exemple, décider à quelle entité – ville ou département – telle dépense doit être affectée ? Mais la double casquette est aussi, parfois, bien utile. Elle autorise les élus, au premier rang desquels l'ex-maire Bertrand Delanoë et, dans une moindre mesure, l'actuelle (Anne Hidalgo), à opérer quelques tours de passe-passe. Objectif : présenter des bilans sous un meilleur jour ou, au contraire, noyer le poisson !


Danielle @Simonnet2 (@LePG) : "Conférence sociale ? Non, Conférence patronale ! "